Alors il...
Alors il me dira : ‘Regarde-moi évaporer le monde’. Et les mots le danseront.
Une solitude en feu !
... Des jours d’été sans rêve psalmodiaient alentour
Et rien ne se lovait aux paroles d’argile,
Pas même tous ces vouloirs décrépis et vexés.
Ce n’était pas trop tard, à peine même inutile
Sous l’instant accroupi aux larmes cérusées.
Des jours d’été de rêve tyrannisaient d’amour...
Nu,
Nudité de soi.
Nudité de table, de sable, d’arômes subconscients.
Nus, rives de l’autre,
Autrefois éblouis.
Ébahissements d’adieux,
Apprentissages de soi sous le regard des autres,
Malgré ‘Autres’,
À cause d’ ‘Autres’.
Violences- Pluriels - Gouffres - ....
Maladresses des pensées, dépensées....
Pensée des gestes, gestes coincés, modestes, reclus, ténus, repliés.
Plaies des gestes pas osés.
Et coincée sous son deuil,
À quatre larmes de vos rires
Émasculés aux fauteuils de vos syllabes ‘pitredire’,
Solitude tangue vers Être, à en démâter l’Avenir.
Cils fièvres,
Viols blancs…
Pas de victime,
Point d’argument,
Victoire Monsieur le Juge du mal de vivre
Vous décidez de condamner le condamnable
D’innocenter les innocents,
De « souffreter » les « souffretants ».
Viva la bonne conscience et les gants blancs !